mercredi 17 décembre 2014

Exode : L’armée Antique Égyptienne Qui Poursuivait Moïse Découverte Engloutie Dans La Mer Rouge!

MER ROUGE: LES ARCHÉOLOGUES DE DÉCOUVRIR DES RESTES DE L'ARMÉE ÉGYPTIENNE DE L'EXODE BIBLIQUE

plongeurs
Suez | Antiquités ministère égyptien a annoncé ce matin qu'une équipe d'archéologues sous-marins avait découvert ce qui reste d'une grande armée égyptienne du 14ème siècle avant JC, au fond du golfe de Suez, 1,5 km au large de la ville moderne de Ras Gharib . L'équipe était à la recherche des restes des navires et des objets anciens liés à l'âge de pierre et le commerce âge du bronze dans la région de la mer Rouge, où ils tombèrent sur ​​une masse gigantesque d'ossements humains noircies par l'âge. Les scientifiques dirigé par le professeur Abdel Muhammad Gader et associés à la Faculté d'Archéologie de l'Université du Caire, ont déjà récupéré un total de plus de 400 squelettes différents, ainsi que des centaines d'armes et pièces d'armure, aussi les restes de deux chars de guerre, dispersés sur une superficie d'environ 200 mètres carrés. Ils estiment que plus de 5000 autres instances pourront être dispersés sur une zone plus large, ce qui suggère que une armée de grande taille qui ont péri sur le site.
Cette lame d'un magnifique Khopesh égyptien, était certainement l'arme d'un personnage important.  Il a été découvert près des restes d'un char de guerre décoré, suggérant qu'il pourrait avoir appartenu à un prince ou noble.
Cette lame d'un magnifique Khopesh égyptien, était certainement l'arme d'un personnage important. Il a été découvert près des restes d'un char de guerre richement décoré, suggérant qu'il pourrait avoir appartenu à un prince ou noble.
De nombreux indices sur le site ont apporté professeur Gader et son équipe à conclure que les organes pourraient être liés à la célèbre épisode de l'Exode. Tout d'abord, les soldats semblent anciens sont morts sur un sol sec, car aucune trace de bateaux ou navires ont été trouvés dans la région. Les positions des corps et le fait qu'ils étaient coincés dans une grande quantité d'argile et de roche, implie qu'ils auraient pu mourir dans une coulée de boue ou un raz de marée.
Le nombre de cisaillement des corps suggère qu'une grande armée ancienne péri sur le site et la manière dramatique par lequel ils ont été tués, les deux semblent corroborer la version biblique de la traversée de la Mer Rouge, où l'armée du pharaon égyptien a été détruit par le retour les eaux que Moïse avait entrouvertes. Cette nouvelle découverte prouve certainement qu'il y avait effectivement une armée égyptienne de grande taille qui a été détruit par les eaux de la mer Rouge pendant le règne du roi Akhénaton.
Le célèbre récit biblique de la "Red Sea Crossing» a été dismisseded par de nombreux chercheurs et historiens comme plus symbolique qu'historique.
Pendant des siècles, la célèbre récit biblique de la "Red Sea Crossing» a été rejetée par la plupart des chercheurs et des historiens que plus symbolique qu'historique.
Cette découverte étonnante apporte la preuve scientifique indéniable que une épisodes les plus célèbres de l'Ancien Testament était en effet les, basée sur un événement historique. Il apporte une perspective nouvelle marque sur une histoire que beaucoup d'historiens se sont penchés pendant des années comme une œuvre de fiction, et suggérant que d'autres thèmes comme les «plaies d'Egypte" pourraient en effet avoir une base historique. Opérations Beaucoup plus de recherche et beaucoup plus de récupération sont à prévoir sur le site au cours des prochaines années, comme le professeur Gader et son équipe ont déjà annoncé leur désir de récupérer le reste des corps et des objets d'été se est avéré être l'un des sites archéologiques subaquatiques les plus riches jamais découvert.

mardi 9 décembre 2014

Pourquoi Le Déluge Punit L'humanité Quand Elle Atteint Un Ètat De Développement Scientifique Et Spirituel Supérieur?



L'homme se trouve au centre d'un grand conflit cosmique


Les forces opposées de l'ombre et de la lumière, du nihilisme et de la plénitude, de la haine et de 1' amour, se combattent pour s'assurer la maîtrise de son âme, car cette victoire décidera du sort de 1'univers créé et définira le caractère de tous les univers encore non formés. La lumière l'emporte lorsque la raison et l'intelligence sont valorisées par l'être humain, lui permet­tant ainsi de détourner son attention des préoccupations purement matérielles et de cultiver les valeurs spirituelles. En réaction, l'ombre agit sur le monde pour détruire la raison et l'intelligence, ce qui empêche l'humanité de tenir sa promesse spirituelle et de prendre part à une vaste rédemption. 

Systématiquement, nous disent les Anciens, lorsqu'une société atteint un haut niveau, elle est cruellement châtiée et contrainte de revenir à un état inférieur. Rédigés en Égypte dans les premiers siècles de notre ère, les textes gnostiques nous précisent ainsi que le cataclysme global resté dans nos mémoires sous le nom de «Déluge» et associé à Noé n'a pas été voulu par «Dieu» dans le but de châtier le mal, contrairement à ce qu'affirme la Bible. 




La catastrophe a été conçue par les forces de l'ombre, soucieuses de punir l'humanité antédiluvienne d'avoir aspiré à un état de développement scientifique et spirituel supérieur, et désireuses de «prendre la lumière» qui grandissait en chacun. Et c'est bien ce qui s'est produit. Bien que certains individus aient échappé à 1'anéantissement, la plupart des hommes se sont jetés «dans une grande distraction et une vie de labeur, de sorte que l'humanité s'occupe des affaires de ce monde et n'ait pas l'occasion de se vouer à l'esprit saint». 

Dans l'œuvre qu'il consacre à l'Atlantide disparue, Platon déplore également le fait que, lorsqu'une civilisation parvient à un stade élevé, lequel ouvre la voie à 1 'étude, à la contemplation et aux choses de 1' esprit, «revient, à intervalles réglés, comme une maladie, fondre [ . . ] le torrent du ciel, ne laissant survivre que les illettrés et les gens incultes», si bien que l'être humain oublie son passé et tout ce qu'il a appris, pour recommencer «comme une nouvelle jeunesse».
  
...

L'univers est infiniment mystérieux, infiniment varié. Aussi n'est­-il pas impossible d'imaginer que cette indicible tragédie nourrisse et
engraisse une monstrueuse intelligence cosmique, dévoreuse de
négativité et de ténèbres. En fait, les textes gnostiques évoquent une puissance surnaturelle de cette sorte lorsqu'ils associent l'arrivée du Déluge sur l'humanité à une volonté de priver celle-ci de sa «lumière».

Quelle profondeur l'obscurité universelle n'atteindrait-elle pas si
cette petite flamme nous était arrachée à jamais !

Cependant, s'il faut en croire les textes, l'ombre ne peut pas
triompher seule. Elle a besoin de notre aide et de notre bonne (en
1 'occurrence, on devrait plutôt dire « mauvaise») volonté pour

parvenir à détruire la lumière.

Le Mystère de Mars - Hancock - Bauval - Livres

dimanche 30 novembre 2014

Situation Actuelle de la Planète Terre : "Nous Vivons Aujourd'hui Un Épisode D'impacts!"

Où en sommes-nous ? 


Plusieurs astronomes de grand renom, dont Victor Clube, Bill Napier, David Asher, Duncan Steel, Mark Bailey, Fred Hoyle et Chandra Wickramasinghe, ont été les premiers à procéder à une évaluation intelligente de la situation actuelle. Voici la «chaîne de preuves» qu'ils ont assemblée. 

Pour ce faire, et dans la mesure du possible, nous reprendrons leurs propres termes ; mieux que les nôtres, ils permettront en effet au lecteur de comprendre les intenses préoccu­pations et le sentiment de grande urgence qui animent ces scienti­fiques. 

D'une part, nous partageons leur inquiétude. D'autre part, il est à nos yeux d'une importance capitale que le public et les décideurs politiques prennent connaissance de leurs travaux. Ceux-ci démontrent en effet que l'environnement galactique dans lequel le système solaire évolue en ce moment est plus dangereux et plus imprévisible que jamais. Avec un nombre sans cesse croissant de collègues du monde entier, ces hommes attirent notre attention sur les faits suivants: 

• Certains éléments prouvent l'apparition, «dans le nuage de Oort, d'une très récente perturbation liée d'une certaine façon au mouve­ment solaire». 

Le Soleil, qui a depuis peu traversé le plan médian et dense de la galaxie, « effleure » actuellement sa surface, dont il n'est séparé que par 8 degrés. 

• Depuis environ cent millions d'années, il a séjourné dans le bras spiral d' Orion, qu'il a parcouru «selon un angle assez aigu par rapport à son axe, tout en effectuant un ou deux cycles d'ondulations».

 • Il a récemment achevé son passage et se trouve juste au-dessus de la limite interne du bras. 

• Il vient de «pénétrer dans ce qui ressemble aux vestiges d'un ancien nuage moléculaire géant en cours de désintégration. Il s'agit d'un anneau de matières qui renferme la plupart des régions génératrices d'étoiles et des nuages moléculaires situés au voisinage du Soleil. Les jeunes étoiles bleues forment dans le ciel une arche aujourd'hui appelée «ceinture de Gould», mais connue depuis l'époque de Ptolémée [ . . . ]. 
Le système solaire n'a traversé la cein­ture de Gould qu'il y a cinq millions d'années au moins et dix millions d'années au plus [ ] ». 

• À partir de ces données, une conclusion terrifiante s'impose : 1'«adresse» actuelle du Soleil au sein de la galaxie révèle non seule­ment qu'un épisode de bombardement est imminent, mais aussi qu'il a dû commencer et que le pourcentage des impacts, en ce moment même, est sans doute extraordinairement élevé : • • • 




« La position du Soleil, situé sur le bord intérieur du bras spiral d'Orion, indique que nous nous trouvons actuellement dans une phase d'activité. De plus, le système solaire vient de couper le plan de la galaxie, 1' endroit où les forces de marée qui influent sur le nuage cométaire sont à leur maximum ; le flux cométaire s'approche donc d'un temps fort du cycle galactique. Il y a peu, il a aussi traversé la ceinture de Gould. Il subit donc un effet de marée exceptionnel en raison de son récent passage dans un ancien nuage moléculaire en cours de désintégration [ . . . ]. Cette rencontre a dû engendrer un violent épisode d'impacts, dans lequel nous sommes toujours plongés [ . . . ] . [En résumé,] le système solaire rencontre actuellement toutes les conditions de nature à lâcher un flux cométaire exceptionnel en direc­tion de la Terre : son positionnement au voisinage du plan galactique, sa proximité par rapport à un bras spiral et sa récente traversée d'un système de nuages moléculaires [ . . . ] . Nous vivons aujourd'hui un épisode d'impacts• »

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mercredi 26 novembre 2014

Conséquences De la Chute d'Un Astéroïde de 5 Kilomètres Sur L'avenir De L'humanité





Après les dinosaures les humains...


Ce qui s’est passé il y a 65 millions d’années laisse entrevoir l’impact physique d’une telle catastrophe si elle devait avoir lieu dans un « proche avenir ». Trop loin dans le futur, ce même évènement n’aurait sans doute plus de sens pour nous. Non parce qu’il n’aurait pas lieu. Mais parce que notre espèce, naturellement épuisée et arrivée au terme de son existence sur Terre, aurait peut-être migrée vers de nouveaux mondes, laissant derrière elle une Terre desséchée ; une coquille vide.

Où bien aurons-nous succombé en masse à nos propres sécrétions à la fois physiques et psychiques. En proie à une agonie globale dans les convulsions et les déchirements d’une espèce n’étant pas parvenu au terme de sa maturation. Embryon d’humanité victime d’une difformité prénatale. Nous n’avions en définitive aucune chance de survivre. La Terre ellemême, nous ayant jusque-là si amoureusement et si douloureusement portés, serait morte elle aussi, entraînée dans notre extinction.

Afin de mieux s’imaginer ce que pourrait être la chute d’un astéroïde tel que celui qui a marqué la période K/T, essayons de nous figurer étape par étape la succession des évènements depuis l’apparition de l’objet dans le ciel, jusqu’aux derniers effets de l’impact aussi loin que puissent nous mener la recherche et l’imagination.

Tout d’abord, le franchissement de l’atmosphère ne prendrait, pour un objet d’environ 5 kms et filant à 20 km/s, qu’à peine une dizaine de secondes. Ses couches denses s’étendant depuis le sol jusqu’à environ 85 km d’altitude. C’est à partir de cette limite que les météorites commencent ordinairement à se consumer. Aussi, et une fois passée cette frontière, nous serions à même de voir dans notre ciel une étoile filante qui, loin de s’éteindre progressivement, verrait au contraire son éclat augmenter de seconde en seconde. 

À 20 km/s, le franchissement de l’atmosphère, dans le cas d’une collision « frontale », ne prendrait pas plus de cinq secondes 74 . Autant dire qu’à une telle vitesse, la traînée (les frottements) aérodynamique n’atténuerait en rien la violence de l’impact. La collision se produirait dans un flash de lumière blanche aveuglant, au moins cent fois plus brillant que le disque solaire. Au point d’impact, l’atmosphère et la lithosphère seraient littéralement soufflées par la surpression due à la vitesse du projectile. Sous le choc, l’astéroïde en même temps que la croûte terrestre seraient littéralement pulvérisés. La matière de l’écorce terrestre ainsi volatilisée, jointe à celle de l’impacteur, serait projetée dans l’atmosphère. L’énergie d’impact serait de la sorte instantanément convertie en énergie thermique. Outre un ouragan d’impact à son origine au moins égal à la vitesse d’impact et une onde de choc planétaire ; la température atmosphérique atteindrait des pics de plus de 100°C.



L’impact géographique


Les conséquences purement géographiques de l’impactisme sur notre planète sont bien évidemment proportionnelles à la taille, à la densité et à la vitesse des astéroïdes. La nature du sol est aussi déterminante que la nature du projectile. Les chiffres généralement annoncés sont issus de simulations se basant sur des valeurs moyennes. Concernant la vitesse des astéroïdes, on l’estime généralement de l’ordre de 20 km/s. Néanmoins, ce chiffre peut s’avérer être une grossière approximation quand on sait que certaines observations ont montré des vitesses de l’ordre de 40 km/s. Quand on sait que l’énergie d’un impact est déterminée d’après la formule suivante : E = 1⁄2 mv 2 , autrement dit la moitié de la masse par la vitesse élevée à la puissance 2 ; on comprend aisément que si la vitesse double, la valeur finale sera, quant à elle, multipliée par quatre.

Les impacts importants sont le plus souvent la cause de fissures, sinon de fractures de l’écorce terrestre. Ces blessures provoquent, en plus des remontées magmatiques au point zéro, une activité volcanique intense sur toute la surface du globe. Le tout bien sûr accompagné d’un sursaut de l’activité sismique et tectonique d’une amplitude inégalée.

Si l’impact s’avérait être océanique, autrement dit hors du plateau continental, les conséquences au niveau de l’écorce terrestre s’en trouveraient aggravées. En effet, hors de cette zone, l’épaisseur du manteau terrestre est considérablement diminuée et donc fragilisée. Quand l’épaisseur de la lithosphère varie généralement entre 30 et 90 kilomètres pour la croûte continentale (granitique), elle n’est plus que de 7 à 12 kilomètres pour la croûte océanique (basaltique). Bien que d’une densité moyenne légèrement supérieure à celle de l’écorce continentale (3,3 contre 2,7), l’écorce océanique n’en serait pas moins vulnérable en cas d’impact majeur. En effet, les faibles épaisseurs de celle-ci par endroit la rendraient particulièrement démunie face à un impact d’astéroïde presque aussi épais qu’elle. Au-delà de 2 km de diamètre, il y a le plus souvent fissuration de la croûte océanique avec force libération de magma, de gaz et de vapeur d’eau. Du choc naîtrait une colonne d’eau, de vapeurs magmatiques et de poussières d’impact de l’ordre de 5 000 mètres d’altitude. Cette cheminée gigantesque libèrerait dans l’atmosphère terrestre des quantités astronomiques de gaz, de poussières et de carbone de combustion. Le tout se répandrait uniformément tout autour de la Terre en quelques jours. À terme, plusieurs mois voire plusieurs années, toutes ces vapeurs et poussières finiraient par précipiter dans un déluge planétaire ininterrompu. Enfin, et ce ne serait pas une moindre conséquence, un impact océanique provoquerait de surcroît un tsunami dont les proportions ne laisseraient que peu d’issues à toute forme de vie.

Pour une vitesse de l’ordre de 20 km/s associée à un objet de 1 km de diamètre, la hauteur du tsunami à 1 000 kilomètres du Point Zéro serait de 5 000 mètres. Pour un objet de 5 km ; le tsunami serait de 10 000 mètres. Avec de telles dimensions, et à des vitesses de l’ordre de 500 à 800 km/h, la vague circulaire n’aurait aucun mal à faire le tour de la planète, refermant enfin son étau aux antipodes du Point Zéro ; le Point Zéro / bis. 

Un autre effet, suivant que l’impact serait plus ou moins proche des pôles, consisterait en une modification plus ou moins importante de la cryosphère (l’ensemble des glaces terrestres et marines). Dans tous les cas de figure, il y a de fortes probabilités pour que celle-ci ne résiste pas à plus ou moins long terme aux conséquences d’un impact majeur. L’augmentation brutale de la température dans les premiers temps aurait tôt fait de faire disparaître l’ensemble de cette cryosphère. Le niveau des eaux océaniques s’en trouverait bien sûr considérablement augmenté. Dans le même temps, le tracé des côtes, les courants marins et les climats seraient irrémédiablement bouleversés. Enfin, la détérioration de l’albédo terrestre due à la fonte des glaces et des neiges ajouterait encore à l’augmentation de la température et à l’effet de serre.

Sur le plan uniquement atmosphérique, les immenses quantités de poussières et de vapeur d’eau ajoutées au volcanisme post-impact provoqueraient, outre des perturbations atmosphériques et climatiques évidentes, une altération de la couche d’ozone (O 3 ). Ce qui entraînerait à son tour une augmentation de l’incidence des rayonnements Ultra-violet sur la biosphère, provoquant entre autres de nombreux et irréversibles dégâts et/ou mutations au niveau cellulaire et génétique.

De nombreuses pluies acides auraient quant à elles d’énormes conséquences sur le cycle de l’eau en particulier, et sur le cycle de la vie de manière générale. Enfin, un effet de serre et un hiver d’impact finiraient, comme ce fut le cas par le passé, d’éradiquer bon nombre d’individus et d’espèces inaptes à s’adapter aussi rapidement à des changements aussi violents et importants.

Pour en finir avec cette liste noire, il faut aussi savoir qu’un impact majeur ne serait pas sans incidence sur les périodes de rotation terrestre, occasionnant une modification du champ magnétique et de la magnétosphère. Les diminutions et inversions du champ magnétique terrestre sont des phénomènes aujourd’hui connus et datés. La dernière inversion nommée Bruhnes / Matuyama date d’il y a 700 000 ans. Les inversions naturelles (endogènes) du champ magnétique terrestre ont lieu en moyenne à la fréquence de deux fois par million d’années. La magnétosphère joue un rôle majeur et participe à cet équilibre aujourd’hui nécessaire quant à la préservation de la vie sur Terre. Elle contribue, elle aussi, par le bouclier magnétique qu’elle représente, à stopper les rayonnements solaires et astronomiques les plus nocifs, même s’ils furent en leur temps les indispensables nutriments de ce qui deviendrait plus tard la vie organique. Aussi, les périodes d’affaiblissement, d’annulation ou d’inversion de la magnétosphère sont autant de moments critiques pour la vie sur Terre.

À l’énoncée de toutes ces plaies et des réactions en chaîne que pourrait à nouveau occasionner un tel cataclysme, on s’aperçoit à quel point non seulement la vie, mais les mondes eux-mêmes, sont de fragiles équilibres où chaque partie a un rôle non moins important à jouer au sein du tout. C’est dire à quel point, même si la vie de manière générale dépasse et submerge la seule espèce humaine, et même notre bien petite planète, nous pouvons néanmoins prendre part activement à cette force qui nous emporte et ainsi participer, même humblement, à cette œuvre de vie dont nous sommes aujourd’hui les témoins privilégiés.



L'Humanité d'après (les hommes nus)


Il est difficile d’imaginer comment l’humanité pourrait résister à de tels bouleversements planétaires. On se demande même si la solidarité internationale serait à même de pouvoir s’exprimer dans la mesure où toutes nos structures sociales et tous nos moyens de communication physiques seraient réduits à néant. Il nous suffit d’ajouter les unes aux autres toutes les catastrophes que le monde moderne a pu connaître jusqu’à aujourd’hui ; d’en multiplier l’intensité et d’étendre cette vision à l’ensemble de la planète pour nous faire une idée de ce que serait un tel cataclysme pour notre espèce.

À des millions et des millions de morts s’ajouteraient autant de blessés et de sansabri. Les conditions sanitaires déplorables et les très rudes conditions climatiques continueraient de grossir la liste des victimes. Quelle issue pour les survivants ? Comment survivre au manque d’eau et de nourriture généralisé à toute une planète ? Peut-être quelques rares zones préservées pourraient s’avérer autant de niches écologiques à même de préserver la vie ? À la dévastation des zones agricoles de l’ensemble de la Terre s’ajouterait l’empoisonnement et l’appauvrissement du reste des sols, les rendant impropres à toute agriculture. Une agriculture rendue de toute manière impossible. Tous les moyens mécaniques et industriels, ainsi que les énergies nécessaires à leur mise en œuvre étant immanquablement réduits à néant. L’humanité ainsi soudainement projetée dans le passé, désarmée, assoiffée et affamée, ne pourrait que très amèrement regretter, au nom des pays riches, le temps des gaspillages, de la surproduction outrancière et d’une opulence arrogante et prétentieuse.

Décimés, traqués, isolés, affamés et dépouillés de toutes nos prothèses technologiques ; « hommes nus », nous serions comme autant de nouveau-nés jetés là dans la boue et la souille sans autre recours que de nous presser les uns contre les autres pour nous réchauffer et nous soutenir. Il nous faudrait dès lors tout réapprendre, et dans des conditions sans doute bien pires que ce qu’ont pu connaître les plus primitifs de nos ancêtres. Apprendre à survivre et réapprendre à vivre. Réapprendre à s’aider et à s’aimer aussi. Le temps que la Terre se nettoie de toutes nos impuretés, de toutes nos déjections, poisons et de ceux qu’un cataclysme majeur y aurait ajoutés. Le temps peut-être que nous nous lavions aussi de tous nos poisons intérieurs accumulés pendant des générations.

Peut-être même ne nous serait-il plus possible de vivre à la surface d’un monde devenue trop aride et hostile. Contraints alors de fuir, chassés une seconde fois du Paradis terrestre, nous nous glisserions dans quelque repli de la Terre comme des enfants ratatinés dans le sein de leur mère. À terme, quelle nouvelle forme de vie ne sortirait-elle pas des entrailles du monde ? De quelle régénérescence ou dégénérescence serions-nous les élus ou les victimes ?

Qui sait enfin si certains groupes humains survivants ne s’uniraient pas contre d’autres, plus préservés, pour leur ravir leurs territoires ? Tant de scénarios possibles font qu’il est vain de vouloir aller plus avant dans la description des causes et de leurs infinis effets.

source : Sébastien Junca Blessure d’étoile. La face cachée de l’évolution

mardi 18 novembre 2014

Qu'arriverait-il si un gros astéroïde impactait l'Atlantique? Vous préférez ne pas le savoir!



Si un énorme astéroïde devait se crasher en plein milieu de l'océan Atlantique, alors dites au revoir à Broadway, aux  maisons de plage de Long Island et à peu près tout le reste de la côte Est des États-Unis et ce jusqu'aux contreforts des montagnes Appalaches.

Les terres côtières seraient dévastées non par l'impact situé à quelque 2500 kilomètres de là, mais par une succession incessante des vagues colossales se déplaçant à la vitesse d'un avion à réaction et d'une hauteur encore plus élevée que l'Empire State Building.

Dans la foulée, quelques heures plus tard, l'eau fuyant de ces vagues de tsunami ne laisseraient quasiment rien debout.

Bien que cela puisse ressembler au scénario du prochain film catastrophe de Hollywood, une telle catastrophe projetée a été brassé par les ordinateurs à Los Alamos National Laboratory, un lieu au Nouveau-Mexique qui resterait élevé et sec. Les scientifiques ont décrit les résultats des simulations informatiques aujourd'hui lors d'une réunion de l'American Astronomical Society.
Dr Jack G. Hills, un géophysicien de Los Alamos, a déclaré que les tsunamis, souvent appelés raz de marée, seraient bien plus dévastateurs que tout tremblement de terre, volcan ou une inondation déjà connu dans l'histoire humaine. Les côtes de l'Europe seraient également balayés, notamment en Irlande, en France, au Portugal et en Espagne.




Les simulations ont été réalisées dans le cadre d'études à Los Alamos sur les problèmes de détection des astéroïdes proches de la Terre qui pourraient mettre en danger et éventuellement de les frapper hors cours avec un missile nucléaire. Le laboratoire a été fondé pour développer des armes nucléaires, mais aucun d'entre eux pour l'utilisation astéroïde défense a été autorisé.

Pour les simulations informatiques, le Dr Hills, en collaboration avec le Dr Charles Mader, un scientifique de Los Alamos à la retraite et spécialiste des tsunamis, a créé des modèles montrant comment les impacts par des astéroïdes de différentes tailles devraient générer des tsunamis qui, à partir de l'expérience précédente, gagnent en hauteur lorsqu'ils atteignent les plateaux continentaux. Les modèles de la topographie côtière ont été inclus pour montrer à quel point les terres des inondations était susceptible de se produire.



La simulation du pire suppose l'impact d'un astéroïde rocheux 5 kilomètres de diamètre. Il perdrait peu d'énergie plongeant dans l'atmosphère et se crever un cratère sur le sol de l'Atlantique.

Un astéroïde environ deux fois cette taille a claqué dans le golfe du Mexique et du Yucatan il ya 65 millions d'années, provoquant probablement extinctions globales.

Dans les trois heures, les simulations ont montré, les tsunamis se livrer murs d'eau et un accident de débris sur la côte Est, de la Nouvelle-Angleterre par les Carolines. Le plateau continental plus douce large de la Floride devrait tempérer les effets sur le littoral de cet État, sauf dans la région de Miami, qui serait dévastée.

Heureusement, les impacts d'astéroïdes de cette ampleur se produisent en moyenne tous les 10 millions d'années. Mais la possibilité d'une relativement petit astéroïde frapper l'océan est de 2.000 ou 3.000 fois plus susceptible de se produire. Un impacteur de 400 mètres de large éliminerait tout ce qui vit sur le littoral des deux côtés de l'Atlantique.

'' Toute astéroïde de plus de 600 pieds de diamètre, nous avons un réel problème, '' a déclaré le Dr Hills.

Le laboratoire a commencé simulations comparables des effets d'un astéroïde dans le Pacifique à Hawaï et la côte ouest. L'ensemble du bassin de Los Angeles serait inondé.

'' Nos collègues de Caltech à Pasadena pourrait le faire, '' Dr Hills dit, '' mais UCLA, non. ''

Les tsunamis sont généralement causés par les tremblements de terre ou les éruptions volcaniques sous-marines. L'un des pire de l'histoire a commencé avec un tremblement de terre au large des côtes du Chili en 1960 et produit des vagues de 12 mètres aussi loin qu'au Japon, où il a tué au moins 140 personnes.

lundi 17 novembre 2014

La Comète Swift-Tuttle : Un Risque Grave Et Imminent D'extermination Pour l'Humanité



Un risque de collision avec Swift-Tuttle


 Les sources historiques et les observations contemporaines nous ont permis d'identifier environ quatre cent cinquante comètes dont l'orbite croise la nôtre. La plupart d'entre elles appartiennent à la famille des comètes à période longue. Elles ne sont toujours pas revenues nous menacer ni nous éviter. Parmi les comètes à période courte ou intermédiaire qui nous visitent régulièrement, une trentaine sont enfermées dans des trajectoires qui coupent celle de la Terre. Théoriquement, elles pourraient donc entrer en collision avec notre planète

 La comète de Halley en fait partie. Idem pour celle de Swift-Tuttle, le «parent » de l'essaim météoritique des Perséides que la Terre traverse en juillet et août. Au dire des astronomes qui étudient la course de la comète de Swift-Tuttle, ce corps constitue un risque grave et imminent pour notre globe. Les simulations infor­matiques indiquent que sa route croise celle de la Terre lorsqu'il se dirige vers son périhélie et qu'il peut, dans certaines circonstances, s'approcher dangereusement de nous. On sait notamment qu'«on frôlerait la collision si la comète atteignait son périhélie fin juillet». C'est pourquoi un spécialiste a décrit la comète de Swift-Tuttle comme «l'objet connu le plus dangereux pour l'humanité». D'après les calculs, cette menace subsistera pendant au moins dix mille ou vingt mille ans ; ensuite, «son orbite se détériorera  certainement, de sorte qu'elle tombera dans le Soleil ou qu'elle sera éjectée du système solaire, à condition qu'elle n'ait pas percuté la Terre avant» 


L'Effet du Cap 


L' Histoire de cet objet a débuté en juillet 1862, lorsqu'il a été observé pour la première fois. Dans les mois suivants, alors qu'il se trouvait à quelque quatre-vingt millions de kilomètres de la Terre, il est apparu dans 1' espace nocturne comme un spectre éblouissant, doté d'une queue qui s'étendait sur 30 degrés. On rapporte que celle-ci brillait davantage que les étoiles les plus lumineuses 

 Pendant quelques semaines, il a tranquillement respecté une trajectoire prévisible, que les astronomes du monde entier ont pénible­ment suivie et mesurée. Mais dans les derniers jours de sa visibilité, il a adopté un comportement qu'on n'avait jamais étudié sur aucune comète : il a changé de direction. Lorsqu'il a disparu, l'observatoire du Cap, en Afrique du Sud, a remarqué avec étonnement que sa course s'était modifiée à raison d'environ dix secondes d'arc lors de sa traversée de notre ciel 

On attribue cet effet dit «du Cap» à un dégazage produit par l'objet. Le phénomène se serait avéré si violent que la comète de Swift-Tuttle aurait été littéralement projetée sur le côté

 Cet événement était-il isolé ou se produisait-il régulièrement ? En 1862, des questions similaires ont introduit un élément d'incertitude dans les calculs visant à fixer la date du retour de la comète. Le sentiment général était que celle-ci reviendrait environ cent vingt ans plus tard


Brian Marsden


En 1973, une projection identique a été effectuée par Brian Marsden, membre de 1 'International Astronomical Union (lAU) et grand spécialiste du comput des orbites. Après avoir soigneusement vérifié et recalculé les données de 1862, 1' expert a conclu que la comète réapparaîtrait entre 1979 et 1982.

 Au moment prévu, rien ne s'est passé. Marsden a alors tenu à élargir la fourchette de ses estimations. Pour ce faire, il a tenu compte de certaines observations réalisées dans le passé sur des corps qui pouvaient être, en réalité, la comète de Swift-Tuttle. Il a ainsi établi une corrélation avec des données datant de 69 av. J.-C. de 188 et de 1737. Sur ces bases, il a établi une nouvelle prévision : la comète devait revenir en 1992 et elle parviendrait à son périhélie vers le 25 novembre de cette même année

 Cette nouvelle prédiction s'est révélée exacte. Le 26 septembre 1992, l'astronome japonais Tsusuhiko Kiuchi a été le premier à assister au retour de l'objet, que sa trajectoire allait amener à son périhélie le 11 décembre.



 


L'avertissement 



Désormais possesseur d'informations précises sur 1' orbite de la comète, Marsden est retourné à ses ordinateurs pour déterminer la date du prochain périhélie. Il s'est aperçu que celui-ci se produirait, au terme de quelque cent trente-quatre ans, le 11 juillet 2126.

 Évidemment, il a commencé à se demander si la répétition de l'«effet du Cap » ou quelque autre divagation orbitale ne l'avait pas de nouveau induit en erreur. Le lecteur n'a pas oublié que la Terre frôlera la collision avec le bolide si jamais ce dernier atteint son périhélie «fin juillet». Marsden en personne est 1' auteur des calculs qui ont donné lieu à cette prévision dès 1973.

 Lorsqu'il a réexaminé la question, en 1992, il s'est attaché à prévoir la date exacte à laquelle, fin juillet 2126, le passage de la comète à son périhélie sera suivi d'un choc avec notre planète. Les ordinateurs ont mis en évidence le 26 juillet, en précisant que si l'objet atteignait son périhélie ce jour-là, il s'écraserait sur notre globe un peu moins de trois semaines plus tard, le 14 août!

 Le futur de l'humanité semblait donc dépendre d'un paramètre cosmique on ne peut plus ténu : la distance parcourue par la Terre sur son orbite dans les quinze jours qui sépareront le 11 juillet 2126, la date à laquelle, selon Marsden, la comète de Swift-Tuttle atteindra son périhélie, et l'«inconnue» représentée par celle du 26 juillet. Marsden a pourtant dû reconnaître qu'il avait pu omettre un facteur vital. Il n'en a pas moins publié un document à en-tête de l'lAU (référence 5636, daté d'octobre 1992), dans lequel il a lancé cet avertissement : « Il se peut que la comète périodique de Swift-Tuttle percute la Terre à son prochain retour » Sommes-nous en sécurité pour le prochain millénaire ? 

 Les réactions se sont déchaînées et 1'on a taxé Marsden de sensationnalisme. Contraint de défendre sa position, le chercheur a expliqué que son communiqué ne visait pas à effrayer la population, mais à pousser les astronomes de métier à prêter une attention parti­culière à la comète «dans les années à venir» : «Les observations réalisées en 1862 ont démontré que Swift-Tuttle se comportait de façon très insolite. Je n'ai jamais rien vu de tel en presque quarante ans de comput d'orbites [ . . ]. Le fait est que même si elle ne nous touche pas la prochaine fois, elle aura de multiples occasions de le faire dans un avenir plus lointain [ . . .].».

Il a passé trois mois à refaire tous ses calculs. À la fin de 1992, il a effectué une nouvelle déclaration dans laquelle il a confirmé la date du 11 juillet, à un ou deux jours près. Il n'y avait donc pas de danger qu'une collision survienne en 2126.

 «Nous sommes en sécurité pour le prochain millénaire », a-t-il affirmé, tout en préci­sant que la comète frôlerait de nouveau la Terre en 3044. Des incertitudes En 1993, les astronomes qui observaient la comète alors qu'elle quittait le système solaire interne ont assisté à la répétition de l'effet du Cap : «[Elle] a éjecté des matières qui ont une fois de plus modifié sa course, encore que très légèrement». Puis elle a poursuivi son chemin à une vitesse telle que, en 1998, les téles­copes terrestres les plus puissants ont perdu sa trace. 

Nous la retrouverons en 2126, lorsqu'elle reviendra en périhélie. Reste à souhaiter que le phénomène se produise plus près du 11 que du 26 juillet . . . 

 Cet objet d'un diamètre de 24 km voyagera alors à un peu plus de 60 km/seconde. Si par malheur Marsden a tort et si la comète heurte la Terre, les calculs fondés sur le rapport de sa masse à sa vitesse indiquent que l'impact dégagera une énergie «de l'ordre de 3 à 6 milliards de mégatonnes», soit 1' équivalent de trente à soixante impacts comparables à l'événement de la limite K-T survenu il y a soixante-cinq millions d'années. Une collision peut-elle avoir lieu, ou la marge de quinze jours établie par Marsden suffira-t-elle à sauver la planète ? 

Tout le monde se pose la question. Comme le souligne Clark Chapman, du US Planetary Science Institute : «[ . ] actuellement, les astronomes ignorent de combien l'orbite de la comète va se modifier, sous l'effet des forces perturbatrices qui œuvrent à sa surface et dont l'intensité augmente à mesure qu'elle approche du Soleil.» 

 De telles incertitudes n'ont rien pour surprendre les spécialistes de ces questions, habitués qu'ils sont à voir de grosses surprises et d'énormes objets jaillir des profondeurs obscures de l'espace. Bien qu'il soit impossible d'établir un pourcentage de probabilités, un enfant est capable de comprendre que la comète de Swift-Tuttle ne se contentera pas éternellement d'effleurer la Terre.



sources :


Rogue Asteroids

La sixième extinction : Evolution et catastrophes - Richard Leakey, Roger Lewin, Vincent Fleury 

Doomsday Asteroid: Can We Survive? - Donald W. Cox ED. D., James H. Chestek P.E., Arthur C. Clarke 

The Quest for Comets: An Explosive Trail of Beauty and Danger - David H. Levy 

Impact! The Threat of Comets and Asteroids - Gerrit L. Verschuur 

Comets and the Origin and Evolution of Life - Paul J. Thomas, Roland D. Hicks, Christopher F. Chyba, Christopher P. McKay 

Le Mystère de Mars - Hancock - Bauval 



Liens pour en savoir plus :


on Swift-Tuttle's possible collision

Comète Swift-Tuttle — Wikipédia

Swift Tuttle 2126 | In 134 years, watch out for comet Swift-Tuttle comet to be tracked for chance it might hit Earth - Baltimore Sun

vendredi 7 novembre 2014

Il Y A 65 Millions D'années l'astéroïde de Chicxulub Qui A Exterminé Les Dinosaures Provoquait Un Hyper Tsunami



Ce film montre une simulation par ordinateur du tsunami généré par l'impact de l'astéroïde de Chicxulub, il ya 65 millions d'années. On trouve autour du golfe du Mexique, entre la couche de tectite (première à s'être déposée) et la couche d'iridium (qui s'est déposée peu après), un banc de grès, signe d'un énorme raz-de-marée produit par l'impact.

Cet impact d'un astéroïde est considéré responsable de l'extinction des dinosaures. Que faire si ce tsunami se produisait aujourd'hui?