mardi 5 mai 2015

20 Photos choquantes montrant ce qu'est devenu la pollution en Chine

La Chine a quelques incroyablement beaux paysages naturels, mais ils ne peuvent pas compter pour beaucoup quand, dans d'autres parties du pays, la pollution va totalement incontrôlée. Ces photos choquantes montrer ce que les gens graves de pollution ont à traiter dans certaines parties de la Chine. 
Beijing et d'autres parties de la Chine ont déjà devenu tristement célèbre pour leurs nuages ​​incessantes du smog, qui présentent des risques de santé très réels pour les habitants de ces villes et des régions. Le dumping dans diverses rivières dans toute la Chine non réglementée est assez commun, comme beaucoup de photos dans cette série aider à illustrer.
Les dirigeants chinois ont promis de faire preuve de sérieux sur la pollution de l'air, mais le changement sera difficile dans un pays dont l'industrie a augmenté si rapidement.
Cliquez sur le photos ci-dessous pour les agrandir et s'il vous plaît les partager avec un ami pour aider à sensibiliser.



# 1 travailleur nettoie Dead Fish dans un lac à Wuhan, province de Hubei en Chine centrale

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# 2 Journaliste prélève un échantillon de Red eau polluée de la rivière JianheCHINE-ENVIRONNEMENT-POLLUTION-RIVER

# 3 pêcheurs Row un bateau dans le lac Chaohu algues rempli à Hefei, province de l'AnhuiLes pêcheurs ramer dans les algues rempli le lac Chaohu à Hefei, province de l'Anhui

# 4 Fille promenades à travers le smog à Pékin, où la pollution petite particule est 40 fois la norme de sécurité internationalechangement chine-bad-pollution-climatique-7__880

# 5 Swims enfant dans un réservoir pollué, Pingbachangement chine-bad-pollution-climatique-11__880

# 6 boissons Enfant Eau de Stream Dans le comté de Fuyuan, province du YunnanUn enfant boit de l'eau près d'un ruisseau dans le comté de Fuyuan

# 7 Manoeuvre essaye de nettoyer huile de l'eau, Dalian, LiaoningXx-Photos-Affichage-Comment-Bad-Pollution-In-Chine-vraiment-Is1__880

# 8 Faux Hong Kong Skyline pour les touristeshongkongskyline12__880

# 9 Boy nage dans l'eau d'algues rempli, Qingdao, ShandongUn garçon nage dans la côte d'algues rempli de Qingdao

# 10 bâtiments dans Pékin Entouré de smogSmog lourd Coups Est de la Chine

# 11 travailleurs tentent de Égoutter égouts fuites d'eau d'égouts Tank, Shanghang, FujianXx-Photos-Affichage-Comment-Bad-Pollution-In-Chine-vraiment-Is2__880

# 12 Boy tente d'éviter Très Scattered Flotter sur une rue inondée à Shantou, province du GuangdongXx-Photos-Affichage-Comment-Bad-Pollution-In-Chine-vraiment-Is3__880

N ° 13 bouteilles Femme Recueille plastique près de la rivière polluée par rougeâtre Dyecina

# 14 la pollution d'une usine de Yutian, 100 km est de PékinCHINE-ONU-CLIMAT WEATHER-RÉCHAUFFEMENT-FILES

# 15 travailleurs nettoyer les déchets flottant sur le Yangtze Rivechangement chine-bad-pollution-climatique-13__880

# 16 Dead Fish In Water Filled With bleuté algues, East Lake, Wuhanchangement chine-bad-pollution-climatique-14__880

# 17 Man Walks par le tuyau déchargement des eaux usées dans la rivière Yangtzechangement chine-bad-pollution-climatique-28__880

# 18 fleuve fortement pollué Dans Jiaxing, ZhejiangUn travailleur ressemble à un photographe d'un porte d'une vis et écrous usine de fabrication à côté d'une rivière polluée à Jiaxing

# 19 Grande Muraille de Chine, la honte.IMG_8729_2_21__880

# 20 enfants Jumps Over Trash dans un village, Jiaxingchangement chine-bad-pollution-climatique-16__880

Source: Nouvelles AVAX via Bored Panda

dimanche 3 mai 2015

2031 : Et Soudain Un Supervolcan Efface L'humanité



2031, ici, sur cette terre frémissante, une affirmation volcano-cataclysmique semblait démentielle. Enfin, l'optimisme béa pouvait encore avoir raison… la montagne pouvait aller se recoucher, entre la surpopulation la misère et le terrorisme on avait d'autres chats à fouetter! D’une manière ou d’une autre, la plupart des gens n’y pensaient même pas. C’était un monde surpeuplé de plus de 10 milliards d'habitants, avec plein de problèmes quasi insolubles et beaucoup plus pressants qu’un volcan de plus en train de gronder.

Sous l’île de Papouasie-Nouvelle-Guinée, le magma, mille kilomètres cubes de roche en fusion, était en ébullition. Cette grande hémorragie était remontée par les failles de la fine croûte terrestre, vers l’immense et ancienne caldeira du Rabaul, à la vitesse de dix mètres par mois. C’était un rythme stupéfiant pour un événement géologique, un pied de nez aux énergies les plus puissantes.

Une première faille s’ouvrit dans le sol. Un vaste nuage de cendres monta dans un ciel noir de fumée, et des roches rouges, en fusion, jaillirent comme un geyser. Sous le panache de lave bouillonnait une masse de magma de cinq kilomètres de profondeur, et la pression exercée sur la fine croûte du volcan se révéla trop forte.

À présent, les images télévisées de plus en plus catastrophiques de l’éruption du Rabaul monopolisaient l'information, chassant les actualités politiques ou sportives, et même une transmission en direct d'une sonde martienne intelligente.

Au même moment, dans tout Rabaul, les tremblements de terre s’étaient faits encore plus menaçants. Ils finirent par fendre le fond marin qui recouvrait la chambre magmatique du Rabaul. Le magma monta à la surface par les canaux, dont certains faisaient trois cents mètres de largeur. L’eau de l’océan qui s’engouffra dans ces galeries se changea instantanément en vapeur. Parallèlement, les autres gaz, le dioxyde de carbone et les composés sulfurés, furent dissous dans le magma par les pressions phénoménales des profondeurs – comme le C02 dans une bouteille de soda. Et voilà que la bouteille explosait et que les gaz sortaient en bouillonnant.
Dans les chambres magmatiques, la pression monta de façon exponentielle.

Quand la mer s’était engouffrée dans la chambre magmatique, l’explosion était devenue inévitable.
Des bombes de lave en fusion montèrent dans le ciel, à une altitude de cinquante kilomètres, à une vitesse supérieure à celle du son. La lave se divisa en fragments solidifiés, d’une taille allant de la particule de cendre au bloc d’un mètre, auxquels étaient mêlées des roches de la montagne fracassée. Ces blocs de roche avaient été projetés bien au-dessus des nuages les plus hauts, bien au-dessus des avions et des dirigeables, bien au-dessus de la couche d’ozone, des fragments du Rabaul se mélangeant aux météorites, brûlant brièvement d’une lumière éclatante. 

Le ciel était noir de cailloux. Au niveau du sol, l’onde de choc rayonna à une vitesse supérieure à deux fois la vitesse du son à partir de la caldeira fracassée. On n’entendit rien jusqu’à ce qu’elle frappe, aplatissant tout sur son passage, les maisons, les temples, les arbres, les ponts. Lorsqu’elle passait, l’énergie se perdait dans l’air, le comprimant et l’élevant à des températures incroyables. Tout ce qui pouvait brûler s’embrasa.

Les gens virent arriver l’onde de choc, mais ils ne l’entendirent pas. De toute façon, ils n’auraient pas eu le temps de fuir. Ils se transformèrent en torches humaines et disparurent, comme des aiguilles de pin dans un feu de joie. Et ce n’étaient que les hors-d’œuvre.

Les géologues savaient depuis un moment déjà qu’il y avait trop longtemps que la Terre n’avait pas connu d’incident volcanique majeur.
L’éruption du Rabaul en 2031 n’était pas la pire que le monde ait connue, pas même depuis qu’on tenait la chronique des éruptions volcaniques. Pourtant, elle avait été bien plus importante que celle du Pinatubo, aux Philippines, en 1991 – éruption qui avait fait baisser la température moyenne de la Terre d’un demi-degré. Elle était pire, même, que l’explosion du Tambora, en Indonésie, en 1815, qui avait provoqué « l’année sans été » en Amérique et en Europe. Le Rabaul était le plus grand événement volcanique depuis le VIe siècle après Jésus-Christ, et l’un des plus cataclysmiques des cinq mille dernières années. Le Rabaul, c’était vraiment quelque chose…

Les changements climatiques n’étaient pas toujours lents ou proportionnels à leur cause. La Terre était encline à des modifications aussi soudaines que drastiques, de climat et d’écologie, basculant d’un état stable à l’autre. Les perturbations, même modestes, pouvaient être magnifiées.
Le Rabaul était une perturbation de ce genre. Et elle ne serait pas modeste.

Ce n’était pas seulement la faute du Rabaul. Le volcan n’avait été que la goutte d’eau qui avait fait déborder le vase. L’extraordinaire pullulement de l’humanité avait tendu la situation au point de rupture. Ce n’était même pas la malchance. Si ce n’avait pas été le Rabaul, ç’aurait été un autre volcan, un tremblement de terre, un astéroïde, ou un autre putain de truc.

Mais alors que les systèmes naturels de la planète rendaient l’âme les uns après les autres, l’homme découvrait en fin de compte qu’il n’était qu’un animal imbriqué dans un écosystème. Et comme celui-ci mourait, l’homme en faisait autant.

source:  Evolution de Baxter. Stephen (2005) Broché